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Mieux digérer : nos recommandations

  • Par Myriam Gorzkowski, mis à jour le 27/11/2023 à 08h11, publié le 22/03/2016 à 09h03
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Mieux digérer : nos recommandations
Les troubles digestifs sont monnaie courante pour environ la moitié de la population française, et concernent tout autant les hommes que les femmes, ainsi que toutes les tranches d’âge. Nous avons tous déjà connu à plusieurs reprises une digestion difficile, et surtout les désagréments qui peuvent l’accompagner, comme des ballonnements, une sensation d’acidité ou des nausées. Les causes de ces troubles digestifs peuvent être nombreuses et variées, et sont loin d’être uniquement rattachées à l’alimentation. Ils sont le plus souvent bénins et passagers, mais il est important de consulter un professionnel de la santé s’ils deviennent chroniques, ou qu’ils surviennent sans véritable raison apparente, car il paraît anormal de se sentir ballonné à la suite d’un repas très copieux. Nos pharmaciens vous invitent à en apprendre davantage sur les troubles de la digestion, ainsi qu’à découvrir tous leurs conseils pour vous sentir mieux après les repas.

Troubles digestifs : définition et causes

Les troubles digestifs désignent le fonctionnement anormal ou les irritations qui touchent l’appareil digestif, qu’il s’agisse de la digestion en elle-même ou du transit intestinal. Ils regroupent différents symptômes assez variés, car ils peuvent concerner tous les organes qui jouent un rôle dans la digestion, de l’œsophage à l’intestin, en passant bien sûr par l’estomac.

On retrouve parmi les différents troubles digestifs :
  • Les nausées : elles désignent la sensation d’avoir une envie imminente de vomir, et se caractérisent par un état de mal-être global, voire des hauts le cœur. C’est l’estomac qui est en charge de réguler l’écoulement des aliments vers l’intestin, mais lorsqu’un blocage se crée ou que l’alimentation a été trop copieuse, alors cet écoulement est rendu plus difficile, et les aliments insuffisamment digérés stagnent dans l’estomac. C’est cela qui déclenche la sensation nauséeuse, celle-ci s’accompagnant régulièrement de lourdeurs.
  • Les acidités et les brûlures d’estomac : elles peuvent être en lien avec un reflux œsophagien, qui est une remontée d’aliments en cours de digestion (ceux-ci étant chargés d’acidité), ou avec une présence trop importante d’acide chlorhydrique dans l’estomac. La cause peut en être une consommation excessive de viande, de graisse animale ou d’épices, l’alcool, le tabac, les boissons gazeuses ou excitantes, ou encore certains anti-inflammatoires.
  • Les ballonnements : ils correspondent à une augmentation du volume de l’abdomen à cause d’une ingestion trop importante d’air, ou parfois à une surproduction de gaz au niveau du colon. Ils sont susceptibles de survenir principalement lorsque les aliments ne sont pas suffisamment mastiqués ou avalés trop vite, ou en cas d’abus de boissons gazeuses ou alcoolisées.
  • Les douleurs abdominales : aussi communément appelé "mal de ventre", les douleurs abdominales se caractérisent par une sensation désagréable et douloureuse au niveau de l’abdomen. Ils peuvent être accompagnés de ballonnements, de problèmes de transit, de flatulences, et même de fatigue ou de maux de tête. Même s’ils peuvent être causés par de nombreux facteurs, dont par exemple une fermentation intestinale, on sait aujourd’hui qu’ils sont principalement en lien avec la sphère psychologique, puisqu’ils sont souvent reliés à un haut niveau de stress ou d’angoisse. Cela explique aussi pourquoi l’intestin est qualifié de "deuxième cerveau".
  • Les diarrhées : elle se définit par une émission fréquente et anormale de selles liquides. Il faut différencier les diarrhées simples et les virales, les diarrhées simples étant relativement fréquentes chez les personnes sujettes à de la nervosité à la suite d’une émotion trop forte, mais peuvent aussi survenir à la suite d’un banal coup de froid. Les diarrhées virales sont rares et bénignes en Europe (à l’inverse de la turista ou de la dysenterie), et sont dues à une déshydratation entraînée par la destruction des cellules de la paroi intestinale, auxquelles s’attaque le virus.
  • La constipation : elle désigne le ralentissement du transit de l’intestin avec une diminution de la quantité des selles émises, une consistance anormale de celles-ci, ou des difficultés à les expulser. Particulièrement handicapante, on lui attribue de plus en plus des causes psychologiques ou psychiques, mais elle est également souvent due à des carences en fibres, à une hydratation insuffisante ou à un manque important d’activité physique.

Modifier ses habitudes alimentaires pour mieux digérer

Les troubles digestifs sont le plus souvent la conséquence d’un régime alimentaire déséquilibré, ou de trop nombreux excès alimentaires. La première étape est de penser à varier au maximum son alimentation, tout en équilibrant les différents apports nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. Il est également important de boire beaucoup d’eau, au moins 1,5 litre par jour, car cela contribue à la décomposition et à l’élimination des toxines, et facilite ainsi le transit. 

Les habitudes alimentaires doivent aussi être revisitées, c’est-à-dire qu’il faut privilégier les repas à heures fixes, car cela rend le système digestif plus disponible et augmente les sécrétions salivaires au moment des repas. Il faut éviter les repas trop copieux le soir, et espacer le dîner d’au moins deux heures du coucher, la position allongée favorisant les remontées acides. Pour faciliter le travail de l’estomac, il est impératif de prendre le temps de bien mastiquer sa nourriture et de ne pas manger trop vite, pour empêcher la survenue de crampes d’estomac, mais aussi de boire dans un verre plutôt qu’à la bouteille ou à la canette, afin d’éviter l’ingestion d’air dans l’estomac et l’apparition de ballonnements.

Ainsi, il faut privilégier une alimentation riche en fibres pendant la journée (éviter au dîner une surconsommation de fibres, car ils peuvent être à l’origine de nuisances nocturnes), avec par exemple des fruits, des légumes cuits ou des grains entiers. Les aliments particulièrement recommandés sont les betteraves, les carottes, les brocolis, les haricots verts, les asperges, les poires ou les pommes.

Au contraire, il est préférable de ne pas consommer d’orge, de seigle, de blé, d’avoine de riz ou encore d’agrumes en trop grande quantité. Bien entendu, les épices et le sucre ne sont pas indiqués pour une digestion facile. Il est essentiel de ne pas consommer trop de viande ou de graisses animales, de ne pas boire trop de lait, d’éviter au maximum le café ou le thé, et de bannir les boissons gazeuses ou énergétiques, les bonbons et les chewing-gums, responsables de gaz ou de ballonnements. Les aliments gras, les produits raffinés, transformés ou dénaturés dont la teneur en nutriments (vitamines et minéraux) est faible voire nulle, ou la nourriture difficile à décomposer par le système digestif, par exemple les champignons, ne doivent faire partie que de repas occasionnels. Enfin, éviter la consommation d’aliments qui fermentent, à l’instar des crudités ou de certains fromages, ne pourra être que bénéfique. De façon générale, il faut préférer les fruits et les légumes cuits aux crus.

Améliorer son mode de vie

Bien entendu, une meilleure hygiène de vie générale ne peut que favoriser une meilleure digestion. Aussi, faire de l’exercice physique au quotidien permet d’augmenter la circulation sanguine vers les organes, et le sport a notamment pour avantage de favoriser la stimulation des muscles de l’intestin. La qualité du sommeil est toute aussi importante, le manque de sommeil pouvant également être responsable de la survenue de problèmes digestifs.

Même si la cause principale des troubles digestifs reste liée à l’alimentation, le stress est lui aussi responsable de plusieurs désagréments, particulièrement des maux de ventre. Réussir à se tenir éloigné des sources d’angoisse et à se relaxer est d’une grande importance, cela évite les perturbations liées au fonctionnement de l’estomac et des intestins, ainsi que le ralentissement de la digestion. Il peut aussi être nécessaire de perdre du poids, car ce facteur peut influer sur l’apparition de remontées acides ou de brûlures d’estomac. Il est enfin essentiel d’éviter au maximum la consommation d’alcool, celui-ci encombrant l’estomac et monopolisant le foie le temps de son assimilation, et d’arrêter de fumer (même en règle générale!), les ingestions d’air répétées dans l’estomac étant particulièrement nocives au confort digestif, sans parler de tous les autres désagréments que peut causer la cigarette.

Troubles digestifs : quelles solutions ?

Les solutions médicamenteuses ou naturelles ne manquent pas pour lutter contre les problèmes digestifs. Mais depuis quelques années, les probiotiques ont également fait leur apparition pour rééquilibrer la flore intestinale.

Les médicaments pour mieux digérer

Pour chaque trouble digestif précédemment cité, il existe un médicament pour la digestion sauf dans les cas où le problème est d’origine bactérienne, où le médecin prescrira des antibiotiques pour venir à bout de l’infection.

Pour réussir à faciliter une digestion difficile à la suite d’un repas trop copieux ou à base d’aliments plus compliqués à digérer, il est possible d’avoir recours à des cholagogues, tels que l'hymécromone par exemple, qui stimulent la libération de bile stockée dans la vésicule, ou à des chlorétiques, qui augmentent les sécrétions biliaires et favorisent la digestion (ex: citrate de bétaïne ou oxyboldine). Il existe également des médicaments à base de plantes aux propriétés stimulantes et toniques comme l'Eau des Jacobins.  

Des médicaments contre les nausées et les vomissements, les stimulants, peuvent également être utilisés, car ils améliorent le fonctionnement de l’estomac. Lorsqu’il est question d’acidité et de brûlures d’estomac, plusieurs solutions sont possibles :
  • Les antiacides, qui assurent la protection de la muqueuse œsophagienne et gastrique (ex: Gaviscon ou Rennie). Il faut cependant les espacer de deux heures de la prise d’autres médicaments, car ils sont susceptibles de réduire l’absorption de ces derniers.
  • Les pansements gastro-duodénaux, qui forment un film protecteur sur la muqueuse, et doivent aussi être pris à 2 heures d’intervalle avec d’autres traitements.
  • Les anti-sécrétoires, bloqueurs des sécrétions acides de l’estomac, qui conviennent à calmer la douleur et à cicatriser les micro-lésions de la paroi stomacale.
Deux traitements contre les ballonnements ou les flatulences sont également possibles. On privilégiera les absorbants (à base de charbon actif) pour venir à bout des ballonnements, qui doivent être pris 2 heures après les repas, mais il existe également des médicaments anti-flatulences. Le mal de ventre, qui est pour sa part davantage lié à des causes psychologiques, pourra quant à lui être calmé par un médicament antispasmodique comme Spasfon qui modifient la motricité de l’intestin.

Quand les troubles digestifs se caractérisent par des diarrhées, plusieurs solutions sont aussi disponibles :
  • Les topiques adsorbants, qui agissent au niveau intestinal en adsorbant les gaz intestinaux et en retenant l’eau dans les intestins. Ici encore, 2 heures d’écart sont nécessaire entre le prise de ce médicament et d’un autre traitement.
  • Les ralentisseurs de transit, qui permettent de rendre les selles plus compactes.
  • Des antiseptiques intestinaux couplés à des antibiotiques lorsque l’origine est bactérienne.
Enfin, si le problème est une constipation, le traitement se portera sur des laxatifs. Il en existe 4 classes en fonction de l’effet recherché :
  • Les osmotiques pour augmenter l’hydratation et la motricité intestinale.
  • Les laxatifs de lest, comme Spagulax, des Laboratoires Almirall, pour augmenter le volume des matières fécales et améliorer le transit. Ces deux premiers laxatifs ne souffrent pas, ou très peu, d’effets secondaires.
  • Les stimulants en cas de constipation basse avec des difficultés pour déféquer. Ils peuvent cependant être irritants pour l’intestin, en entraînent des pertes de potassium, ce qui fait que leur usage doit également rester occasionnel.
Retrouvez plus d’informations sur ce trouble digestif dans notre fiche Prévenir et traiter la constipation.

Dans certains cas, le professionnel de santé pourra recommander d'utiliser un kit, comme le kit Enema pour lavement colique.

Solutions naturelles contre les troubles digestifs

De nombreuses solutions issues directement de la nature sont également bénéfiques pour réussir à endiguer les désagréments liés à la digestion. En phytothérapie comme en aromathérapie, les principes actifs des plantes et végétaux expriment en effet de nombreuses propriétés calmant l’inconfort, favorisant le fonctionnement de l’estomac, ou régulant le flux intestinal. La tisane pour digérer permet d'augmenter son apport en eau tout en bénéficiant des bienfaits des végétaux.

Phytothérapie

Souvent sous forme de compléments alimentaires, tout ces végétaux sont reconnus pour leurs bienfaits sur la digestion :
  • La gomme d’acacia (Acacia senegal) : riche en fibres, elle leste les selles sans agresser la muqueuse intestinale, et apporte des nutriments aux "bonnes" bactéries de la flore intestinale pour rééquilibrer cette dernière.
  • Les feuilles d’artichaut (Cynara cardunculus) : elles stimulent la formation de la bile, et jouent un rôle protecteur sur les cellules hépatiques.
  • Les feuilles de boldo (Peumus boldo) : cholagogues et chlorétiques, elles favorisent la sécrétion et l’évacuation de la bile.
  • Le charbon végétal (Carbo vegetalis) : permet de fixer les gaz produits dans l’intestin, notamment à cause d’une fermentation des aliments consommés.
  • Le chardon-marie (Silybum marianum) : protecteur du tube digestif, il contribue également à la régénération des cellules hépatiques.
  • Le fenouil (Foeniculum vulgare) : améliore le fonctionnement de l’estomac, ainsi que l’expulsion des gaz intestinaux.
  • Le fumeterre (Fumaria officinalis) : il possède un effet calmant sur les nausées, et régularise le fonctionnement du foie.
  • Le rhizome de gingembre (Zingiber officinale) : avec son action sédative sur les muqueuses de l’estomac, il aide à réduire les nausées et les vomissements.
  • Le pruneau (Prunus x domestica) : il facilite la régulation du transit en favorisant la rétention d’eau et en stimulant la motricité du colon.
  • Les racines de radis noir (Raphanus sativus) : draineur hépato-biliaire, il augmente la quantité et la fluidité de la bile, mais est aussi antispasmodique pour l’estomac.
  • Les feuilles de romarin (Rosmarinus officinalis) : apaisant pour le système digestif, et stimulant de la vésicule biliaire.
  • La salicaire (Lythrum salicaria) : avec son action anti-diarrhéique, elle protège la paroi intestinale, et en régule le flux.
  • La sauge sclarée (Salvia sclarea) : antispasmodique pour le système digestif.
  • La pulpe de fruit du tamarin (Tamarindus indica) : laxative douce, elle est également régulatrice de transit, et stimulante de la paroi intestinale.

Aromathérapie

Les huiles essentielles sont elles aussi source de nombreuses propriétés intéressantes. Cependant, il faut être vigilant en les utilisant, car elles comportant de nombreuses contre-indications. Par défaut, elles ne sont pas conseillées pour les femmes qui sont enceintes ou qui allaitent, ni pour les enfants âgés de moins de 6 ans. De même, les indications données ci-dessous n’ont aucune valeur médicale, et ne se substituent en rien à la prescription d’un professionnel de la santé, celles-ci étant basées sur les usages traditionnels de ces huiles essentielles. Pour s’assurer de l’absence de danger, mais aussi du bon dosage et de la voie d’administration à privilégier, il est fortement conseillé de s’adresser à un médecin, un thérapeute ou un pharmacien.

Ainsi, il serait possible d’utiliser contre les troubles digestifs :
  • Du basilic français (Ocimum basilicum), antispasmodique pour le tube digestif.
  • Du carvi (Carum carvi), qui limite la production de gaz intestinaux, et stimule les sécrétions biliaires, hépatiques et salivaires.
  • Du citronnier (Citrus limon), pour favoriser les sécrétions biliaires.
  • Du gingembre (Zingiber officinalis), stimulant digestif et anti-nauséeux.
  • Du laurier noble (Laurus nobilis), anti-infectieux et antispasmodique.
  • De la lavande fine (Lavandula augustifolia), sédative pour l’estomac et antispasmodique.
  • Du lemongrass (Cymbopogon flexuosus), antispasmodique quand les troubles digestifs sont liés au stress.
  • De la mandarine (Citrus reticulata), stimulante gastrique et hépatique.
  • De la marjolaine à coquilles (Origanum majorana), antispasmodique et relaxante, ici encore lorsque les troubles sont dus au stress.
  • De la menthe poivrée (Mentha x piperita), antispasmodique du tube digestif et stimulante des sécrétions digestives.
  • De l’orange douce (Citrus sinensis), stimulante digestive.
  • Du pamplemousse (Citrus paradisi), lui aussi stimulant digestif.
  • Du petit-grain bigarade (Citrus aurantium), antispasmodique.
  • Du thym à linalol (Thymus vulgaris linalol), qui améliore le fonctionnement de l’estomac et du foie.

Homéopathie

Plusieurs médicaments homéopathiques sont également utilisées pour se défaire des problèmes de digestion. Seulement, il est impératif de faire appel à un médecin homéopathe pour obtenir une prescription adaptée, la souche et le dosage à sélectionner étant liées au terrain de chaque individu pour pouvoir être efficaces, mais aussi, car le choix dépend de l’exactitude des symptômes, ainsi que des caractéristiques physiologiques de chaque individu. Certaines souches homéopathiques sont traditionnellement associées aux maux de ventre. C'est le cas de Senna, de Arsenicum Album ou de Aloe. Mais encore une fois, consultez votre médecin avant toute chose.

Les probiotiques

Il y a quelques années, des recherches approfondies ont permis de montrer l’importance du microbiote intestinal, jusque-là qualifié de flore intestinale. Celui-ci est un organe à part entière composé de 100,000 milliards de bactéries, ces micro-organismes étant indispensables à notre bonne santé, car ils remplissent des fonctions essentielles comme la régulation du transit où la facilitation de la digestion. Un tiers de ces bactéries sont communes à tous les individus, pendant que les autres sont propres à chacun et se développent dès la naissance.

Les probiotiques sont des compléments alimentaires contenant des milliards de ces bactéries, et qui ont pour but de rééquilibrer le microbiote intestinal pour éviter les problèmes de santé. Un déséquilibre de celui-ci, appelé dysbiose, fait perdre de l’étanchéité à la muqueuse intestinale, et est susceptible d’engendrer une constipation, des ballonnements ou des diarrhées de façon chronique. Ainsi, la prise de probiotiques permet de retrouver du confort digestif, et de réguler le transit.


Vous pouvez également retrouver plus d’informations relatives aux probiotiques avec notre fiche conseil Tout savoir sur les probiotiques.

Il existe également des compléments alimentaires, tels que Pancrèlase Digest, à base d'enzymes digestives.

Bien souvent liés à des déséquilibres ou à des excès alimentaires, mais aussi au stress ou aux angoisses, les troubles digestifs sont généralement bénins et passagers, et peuvent être soignés par de nombreux moyens, que ce soit en automédication, à l’aide de solutions naturelles, ou encore en ayant recours aux probiotiques. Cependant, si les troubles sont récurrents ou chroniques, ou qu’ils persistent pendant quelques jours, ou qu’ils s’accompagnent de fièvre ou de saignement, il est impératif de consulter son médecin traitant dans l’optique d’effectuer des examens complémentaires, ceci afin de vérifier qu’il n’y ait pas de pathologie plus grave, ou simplement pour identifier la cause précise du mal.