PHARMATHEISS
Calle Aznar, 6 Pol. Ind. Virgen del Carmen
03350 COX
CONSEILS D'UTILISATION
Précautions d'emploi :
Les compléments alimentaires ne remplacent pas un régime alimentaire varié et équilibré et un mode de vie sain.
Ne pas dépasser l'apport journalier recommandé (AJR).
Conserver hors de la portée des jeunes enfants.
A consommer de préférence avant la date indiquée sur l'emballage.
COMPOSITION
Eau 71% ; Eau de mer : 29%
par 10 ml
par 60 ml
Chlorure
58 mg
345 mg (43% VNR*)
*VNR (Valeurs Nutritionnelles de Référence)
Mis Ă jour le : 04/09/2024
Les conseils de Pharma GDD
Quinton Isotonic est un complément alimentaire formulé à partir d’eau de mer mélangée à de l’eau douce, à hauteurs respectives de 29 % et 71 %. Il se consomme sous la forme d’une solution liquide à boire conditionnée dans des ampoules individuelles de 10 ml, contenant pour chacune d’elle 58 mg de chlorure.
Principalement destiné aux adultes, Quinton Isotonic a été conçu pour faciliter la digestion difficile, par stimulation de la production d’acide chlorhydrique dans l’estomac. Sans conservateurs, ni édulcorants, ni sucres, ce complément alimentaire ne comporte pas de contre-indications chez les femmes enceintes et allaitantes.
Quelle posologie adopter ?
La dose de Quinton Isotonic par jour préconisée par le laboratoire équivaut à 60 ml, soit 6 ampoules. Elle correspond à 345 mg de chlorure, soit 43 % de la valeur nutritionnelle de référence. Il n’est pas conseillé de dépasser cette dose, au risque de corrompre l’efficacité du complément alimentaire. De plus, ce dernier doit être consommé en complément d’une alimentation variée et équilibrée et non comme substitut. Il est primordial de conserver un mode de vie sain pendant le programme qui peut durer jusqu’à 5 jours.
Le rôle de l’acide chlorhydrique dans la digestion
La première phase de la digestion alimentaire chez l’homme se passe dans l’estomac lorsque les aliments arrivent depuis l’œsophage après avoir été mâchés par la dentition. En fonction de leur consistance originelle et de la qualité de la mastication, ils forment des morceaux plus ou moins gros et solides qui doivent être réduits en une pâte uniforme avant de poursuivre leur trajet par le duodénum vers les intestins dans lesquels les nutriments seront assimilés. Pour arriver à ce chyme, l’estomac produit des sucs gastriques à partir d’enzymes, d’eau et d’acide chlorhydrique dont le rôle est de faciliter la dégradation progressive des aliments par transformation des protéines en peptide. Or une alimentation déséquilibrée, la prise de médicaments, la consommation excessive de tabac ou plus simplement un gène sont susceptibles de dérégler ce processus et d’occasionner une diminution de sécrétions gastriques, avec comme conséquence une digestion plus lente et contrariée. Il peut être dès lors nécessaire de stimuler la production d’acide chlorhydrique pour restaurer le processus et soulager les ballonnements d’après repas.
Quelles conséquences en cas de faible taux d’acide chlorhydrique ?
Outre une digestion lente et une sensation de ballonnement associée, une production diminuée d’acide chlorhydrique est source d’autres troubles plus ou moins graves. En effet, cette sécrétion assure une fonction antibactérienne sur le bol alimentaire, éliminant les différents germes susceptibles de coloniser et d’infecter l’estomac ainsi que les intestins sous forme d’infections parasitaires, de mycoses ou de dysbiose intestinale.
L’autre risque concerne une malabsorption qui se traduit d’un côté par un dysfonctionnement biliaire, avec à la clé une mauvaise digestion des graisses et de l’autre de carences potentielles en nutriments essentiels, comme les vitamines et les oligo-éléments, avec le risque d’une fragilisation de l’organisme et d’une dénutrition.
En dehors de troubles pathologiques déclarés, le retour à une bonne hygiène de vie et le rééquilibrage de l’alimentation permet généralement de restaurer la production adéquate d’acide chlorhydrique. Et cela commence par une consommation raisonnée afin de ne pas saturer son estomac. La satiété n’est pas qu’une sensation qui intervient quand on a l’impression d’avoir trop mangé, mais bien un processus organique par libération d’histamine 15 à 20 minutes après le début de la mastication. Pour le dire grossièrement, ce neurotransmetteur délivre au cerveau le message d’arrêter de manger. Les repas de fêtes et de famille sont, pour cette raison, un vrai défi lancé à la digestion, dans le sens où la durée de consommation s’allonge et se trouve ponctuée de pauses intempestives qui ont tendance à dérégler les processus organiques.
D’autre part, si le fait de ne pas boire beaucoup d’eau au cours de la journée est mauvais pour la digestion, l’excès de liquide, notamment alcoolique, sucré et gazeux, ne l’est pas moins.
Les informations données sont tirées de la littérature et ne tiennent pas lieu de diagnostic. Si vous avez le moindre doute ou que vous souffrez d'une pathologie, demandez un avis médical avant d'entamer le traitement.
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