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Asthme : symptômes, causes et traitements

  • Par Myriam Gorzkowski, mis à jour le 04/08/2023 à 15h08, publié le 03/12/2019 à 07h12
  • Temps de lecture : ~ 0 minutes
Asthme : symptômes, causes et traitements
L’asthme est une affection bronchique chronique caractérisée par une inflammation permanente des bronches, se manifestant par des épisodes aigus d’exacerbation : la crise d’asthme. Touchant près de 4 millions de personnes en France, l’asthme impacte la vie au quotidien lorsqu’il est mal contrôlé. Pharma GDD vous explique les causes de l’asthme, son origine et ses traitements. Nous vous indiquerons comment gérer, et contrôler votre maladie afin de prévenir les crises et vous aider à mieux vivre avec votre asthme.

L’asthme qu’est-ce que c’est ?

Comprendre l’asthme, permet de mieux appréhender sa maladie. Une meilleure connaissance vous aidera à maitriser et à contrôler votre asthme, afin d’améliorer votre qualité de vie.

Définition de l’asthme

L’asthme est une maladie chronique des bronches. Elle est caractérisée par une inflammation permanente des voies respiratoires provoquant une obstruction bronchique. Elle se manifeste principalement par des épisodes aigus occasionnant des gênes respiratoires, plus ou moins importantes et fréquentes.
Elle est due à la conjoncture de deux éléments : une prédisposition génétique et une exposition à des facteurs liés à l’environnement ou au mode de vie.
L’asthme peut devenir une pathologie grave s'il n’est pas pris en charge correctement ou s'il n’est pas suffisamment contrôlé.

Mécanisme physiologique de l’asthme

Lorsque nous respirons, l’air inspiré passe par les bronches, puis les bronchioles et chemine jusqu’aux alvéoles pulmonaires, où se font les échanges gazeux permettant l’oxygénation du sang et l’élimination du CO2.
Chez une personne asthmatique, l’inflammation permanente et chronique des bronches rend ces dernières hypersensibles, on parle d’hyperactivité bronchique. Sous l’influence de divers facteurs extérieurs (froid, allergènes, pollution, tabac…), les bronches sensibilisées vont se contracter et produire du mucus. Le passage de l’air ne s’effectue plus correctement, la crise d’asthme peut survenir.
L’asthme implique une bronchoconstriction, une inflammation, une hyperactivité bronchique et un remodelage des voies respiratoires.

Les différents symptômes de l’asthme

Toutes les personnes atteintes d’asthme ne présentent pas les mêmes symptômes, en dehors de la gêne respiratoire avec la sensation de « manquer » d’air, qui est le symptôme le plus représentatif de la maladie. Ces symptômes se manifestent surtout au cours des crises.

La crise d’asthme

La crise d’asthme est le résultat d’une obstruction bronchique, variable et réversible, provoquée par l’inflammation des bronches, la contraction des muscles bronchiques (bronchoconstrictions) et la sécrétion de mucus.
Elle se traduit par une gêne respiratoire qui s’amplifie, le malade a de plus en plus de mal à respirer (l’expiration est très difficile), une toux sèche puis grasse accompagne cette dyspnée. Le patient ressent une oppression thoracique et sa respiration devient sifflante.
La crise d’asthme survient généralement à la suite d’une exposition à un facteur déclenchant, comme le froid ou les pollens. Elle dure en général une vingtaine de minutes, et cède avec la prise du traitement adapté, et l’éviction du facteur ayant provoqué la crise.
La durée, l’intensité et la fréquence des crises sont très variables d’un individu à l’autre.

La toux de l’asthme

La toux peut représenter l’expression d’un asthme, notamment chez l’enfant. Il s’agit d’une toux sèche, quinteuse, qui revêt un caractère chronique, elle survient généralement le soir ou la nuit. Elle peut être consécutive à un effort, une rhinite, ou à une infection rhinopharyngée.

Les conséquences de l’asthme

L’asthme aigu grave est la complication majeure. Elle peut entraîner une détresse respiratoire aigüe nécessitant une prise en charge immédiate par un service d’urgence. Elle se manifeste par une respiration accélérée, les lèvres et les ongles bleuissent, traduisant un signe du manque d’oxygène dans les tissus, des difficultés d’élocution, voire une perte de connaissance.
Au long cours, cette situation chronique d’inflammation associée à la répétition des épisodes aigus peut altérer progressivement la fonction respiratoire.
Dans les asthmes sévères, on assiste à un remodelage des cellules bronchiques susceptible d’aggraver la situation en contribuant à diminuer davantage le diamètre des bronches.

Comment évolue l’asthme ?

La gravité et l’évolution de l’asthme sont très variables. Il peut être sévère pendant quelques mois et devenir léger voir inexistant le reste de l’année. Le rythme des crises sera fonction de l’exposition aux facteurs déclenchants.
L’évolution de l’asthme dépendra également de l’âge de son apparition. Un asthme apparu dans la petite enfance peut disparaître à la puberté et même avant. Cependant, si les signes sont fréquents, il peut persister à l’âge l’adulte.
A contrario, certains asthmes apparaissent tardivement, après 60 ans, certainement lié à une possible composante hormonale.

Comment savoir si on est asthmatique ?

Le diagnostic de l’asthme repose sur l’interrogatoire du patient, et sur des tests visant à mesurer ses capacités respiratoires.

L’interrogatoire du malade

Interroger le patient permet de répertorier les symptômes spécifiques constatés (toux, oppression, dyspnée sifflante), dénombrer leurs fréquences, identifier les éventuels facteurs déclenchants, et renseigner les antécédents familiaux (terrain atopique.)
Des tests cutanés peuvent être réalisés pour rechercher une origine allergique et permettre de déterminer l’allergène concerné.
Différents bilans seront effectués afin d'éliminer toute autre cause possible (broncho-pneumopathie chronique obstructive, bronchiolite chez un nourrisson…).

L’épreuve fonctionnelle respiratoire (EFR)

L’épreuve fonctionnelle respiratoire (EFR) est réalisée par un pneumologue. Elle permet de mesurer les volumes d’air inspirés et expirés, les débits respiratoires, ainsi que les échanges gazeux. Elle est indispensable pour établir un diagnostic et suivre l’évolution du traitement. Plusieurs techniques peuvent être mises en œuvre, comme la spirométrie, la pléthysmographie, la mesure des gaz du sang, ou encore les épreuves d’efforts.

La spirométrie

C’est la méthode de référence du diagnostic de l’asthme. La spirométrie est une technique simple, non invasive et indolore qui s’effectue grâce à un petit appareil, le spiromètre, dans lequel le patient devra souffler à fond. Il s’agit de mesurer la capacité respiratoire et de la comparer à celle d’un individu de taille, de poids, d’âge et de race identique. En effet, le volume d’air expiré chez un sujet sain est constant, tandis qu’il est variable chez un sujet asthmatique.
La spirométrie permet de mesurer les changements de volume des poumons, et ainsi de rendre compte du degré d’obstruction des bronches. Elle sert à confirmer le diagnostic, et à évaluer la gravité de la pathologie.

Le débitmètre de pointe

Le débitmètre de pointe, ou peak-flow, est un petit appareil très simple d’utilisation. Il indique le débit maximal atteint lors d’une forte expiration rapide. Il ne se substitue pas à l’EFR, mais il est très utile dans le suivi du traitement, et permet ainsi l’autosurveillance du patient. En effet, celui-ci peut effectuer lui-même ses mesures et comparer les valeurs à son indice de base (valeur de son débit expiratoire de pointe établi hors asthme). Ces mesures permettent également d’évaluer le degré de sévérité de son asthme et le risque potentiel de survenue de crise.

Traitement de l’asthme

Le contrôle de l’asthme repose sur un traitement de la crise, à prendre au moment des symptômes, associé ou non à un traitement de fond, qui doit être pris tous les jours.

Traiter la crise d’asthme

Les médicaments de la crise d’asthme ont pour objectif d’agir rapidement sur les symptômes de la crise, et doivent par conséquent avoir un délai d’action court. Ceux-ci sont constitués par les bronchodilatateurs d’action rapide, ce sont les Bêta-2-agonistes à courte durée d’action. Leur prise est assurée par inhalation grâce à un spray ou via une nébulisation à l’aide d’un masque. Des corticoïdes systémiques peuvent également être administrés. En cas de fortes de crises, le recours à l’oxygénothérapie peut être envisagé.
En cas de crise provoquée par un allergène ou tout autre facteur déclenchant, son éviction est bien entendu primordiale.
Un patient asthmatique doit toujours avoir à portée de main un bronchodilatateur d’action rapide.

Le traitement de fond de l’asthme

Le traitement de fond a pour but d’éviter les épisodes de crises d’asthme, et de limiter l’obstruction bronchique, c’est-à-dire l’inflammation des bronches. Il fait appel à différentes classes thérapeutiques de médicaments. Il est principalement composé de corticoïdes inhalés ou d’anti-leucotriènes, associé ou non à des bronchodilatateurs d’action longue (Bêta-2-agonistes à longue durée d’action).
L’inflammation étant le mécanisme fondamental de l’asthme, le traitement de fond de première intention est basé sur les corticoïdes inhalés. Il est instauré dès le stade d’asthme persistant léger. Nous vous rappelons qu’après l’utilisation d’un corticoïde inhalé, il est nécessaire de se rincer la bouche, afin de limiter le risque de survenue d’une mycose.
On peut également avoir recours à des antihistaminiques, des anticholinergiques ou encore la théophylline.
La stratégie thérapeutique adoptée sera fonction de la sévérité de l’asthme.

Nouvelles approches thérapeutiques de l’asthme

Un traitement à base d’un anticorps monoclonal anti-IgE est également disponible. Il est destiné aux asthmes sévères allergiques mal contrôlés.
Ces traitements ouvrent la voie à de nouvelles perspectives thérapeutiques qui devraient voir le jour prochainement. En effet, les recherches sur les différentes formes d’asthme ont conduit au développement de traitements dits « ciblés », visant les constituants spécifiques des médiateurs de l’inflammation.
De nombreuses études sont actuellement en cours concernant ces biothérapies. L’immunothérapie constitue également une nouvelle voie de recherche.

Comment utiliser correctement les aérosols ?

Les médicaments contre l’asthme se présentent généralement sous forme d’aérosols. Pour être efficaces, les traitements doivent pénétrer profondément dans les bronches et ne pas être expirés immédiatement. Cela demande notamment une bonne coordination main-poumon.
Beaucoup de patients asthmatiques prennent imparfaitement leur traitement. Pour faciliter la prise des traitements et améliorer le suivi des soins, des dispositifs médicaux ont été élaborés. Ce sont les chambres d’inhalation qui servent d’interface entre l’aérosol et la bouche du patient et qui permettent une meilleure administration du médicament au niveau des bronches. Ils sont indispensables chez les tout-petits.
Plusieurs modèles sont disponibles et adaptés aux morphologies respectives.

Les causes de l’asthme

L’asthme est tout d’abord une pathologie inflammatoire chronique affectant les bronches, et il est provoqué par la rencontre entre des facteurs environnementaux et des prédispositions.
Les causes exactes à l’origine de l’inflammation ne sont pas encore toutes identifiées.
Chez les adultes son origine allergique est estimée à 70 %, tandis que chez l’enfant, elle atteint 90 %.
L’exposition aux différents allergènes et stimuli provoque une production accrue d’IgE et la libération de médiateurs de l’inflammation.

Facteurs déclenchants

Plusieurs facteurs peuvent favoriser l'apparition de l'asthme :
- L’exposition au tabac (tabagisme actif comme passif, y compris in utero) et à la pollution.
- Les allergènes (pollens, moisissures, champignons, acariens…).
- Les produits émettant de fines particules susceptibles de provoquer des irritations (aérosols, produits ménagers, talc, farine).
- Les médicaments : anti-inflammatoires non stéroïdiens, aspirine, bêtabloquants.
- Le sport ou l’activité physique.
- Les émotions : stress, rire...
- L’exposition professionnelle : certains métiers sont particulièrement concernés : boulangerie, coiffure, peinture, service de nettoyage, métiers de santé, menuiserie….

Les prédispositions

La composante génétique de l’asthme existe. Cette prédisposition génétique inclut la présence de multiples gênes induisant la susceptibilité accrue des bronches (gènes des lymphocytes T, des IgE, des interleukines). Ils interviennent dans les processus de stimulation des muscles respiratoires et dans la production et la prolifération des facteurs de l’inflammation.
Si un des deux parents est asthmatique, le risque chez l’enfant de développer un asthme est d’environ 30 %, si les deux conjoints le sont, celui-ci peut s’élever à 60 %.
Dans cette situation de risque héréditaire, certaines mesures de précautions seront conseillées chez la femme enceinte, comme arrêter de fumer, éviter la consommation d’aliments allergisants, et si possible allaiter son enfant.
L’atopie (prédisposition génétique à l’allergie) est un facteur de risque important de l’asthme, notamment chez les enfants
La rhinite allergique, la conjonctivite allergique ou l’eczéma peuvent représenter les premières manifestations de l’allergie chez un enfant, et être suivies, ou non, de l’apparition d’un asthme.
La prématurité, les petits poids de naissance, la bronchiolite de la petite enfance sont également des facteurs de prédisposition de l’asthme.

Comment bien vivre avec son asthme ?

L’asthme est une maladie chronique, mais il est possible de vivre normalement à condition qu’il soit contrôlé.
Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes pour éviter les crises, et d’adapter son mode de vie et ses activités en fonction de son état respiratoire. L’objectif étant de limiter son impact sur le quotidien, car un asthme contrôlé vous permettra d’avoir une qualité de vie satisfaisante.
Pour ce faire, il faut suivre correctement son traitement et avoir un suivi médical régulier. Certaines précautions et habitudes seront à adopter.

Suivre son traitement

Lorsqu’un traitement de fond a été instauré, il est important de le suivre correctement et de le prendre tous les jours. En effet, il constitue l’élément essentiel du contrôle de votre asthme.
Il a pour objectif de traiter l’inflammation de vos bronches, l’origine de votre pathologie. Il va limiter la fréquence et la gravité des crises.

Reconnaître les signes avant-coureurs de la crise d’asthme

Identifier les signes annonciateurs de la crise d’asthme permet la mise en place précoce d’un traitement et de prévenir l’apparition des crises d’asthmes.
Ils sont variables d’un individu à l’autre, il peut s’agir de toux sèche, de rhinorrhée, larmoiements, éternuements, de symptômes nocturnes, de respiration sifflante, de sensation d’oppression dans la poitrine, ou encore des manifestions comportementales, telles que fatigue, irritabilité.
Ces symptômes surviennent la plupart du temps dans les 12 heures précédant la crise.

Utiliser le débitmètre de pointe

Le débitmètre de pointe vous permet de mesurer et d’évaluer votre capacité respiratoire à tout moment de la journée. Il vous sera très utile pour identifier un risque de crise et contrôler l’effet de votre traitement. Il est le témoin exact de votre fonction respiratoire, indépendamment des signes que vous pouvez ressentir.

Éviter les éléments déclenchant la crise d'asthme

L’exposition allergénique

L’éviction des allergènes est indispensable, mais pas toujours très aisée. Il s’agit tout d’abord de les identifier (tests allergiques), afin d’adopter les mesures adéquates. S’il est facile d’éviter d’avoir des animaux domestiques en cas d’hypersensibilité aux chiens ou aux chats, en ce qui concerne les allergies aux moisissures, acariens, déjections de cafards, ce n’est pas toujours aussi simple. Nous vous conseillons de :
  • Passer l’aspirateur et dépoussiérer régulièrement.
  • Aérer les pièces tous les jours au moins pendant une dizaine de minutes.
  • Maintenir une température ambiante de 18° dans les chambres et un taux d’humidité à 50, 60 %.
  • Changer les draps chaque semaine et les laver à 60°.
  • Éviter les couvertures en laine et les oreillers et couettes en plume, les rideaux, les tapis, la moquette et les peluches.
  • Éviter les expositions polliniques (accessible sur internet).
  • Vous pouvez avoir recours à des sprays antiacariens.

Les infections

Les infections, notamment les pathologies hivernales à rhinovirus sont une cause importante d’exacerbation bronchique. Tout épisode viral ORL doit être pris en compte. Nous vous conseillons d’effectuer des lavages rhinopharyngés avec du sérum physiologique, régulièrement en période infectieuse.

Les causes médicamenteuses

L’aspirine et les antiinflammatoires non stéroïdiens sont à éviter. En effet, 5 à 10 % des asthmatiques sont intolérants à ces médicaments.
Les Bêtabloquants sont contre-indiqués chez les patients asthmatiques. Ils peuvent provoquer un bronchospasme (comprimés et collyres).
Les antitussifs exposent à un risque d’aggravation (ils sont à éviter), mis à part les antihistaminiques.

Pollution atmosphérique et tabac

Le tabac est à proscrire en cas d’asthme. Non seulement il favorise l’apparition d’une crise, mais il participe à la destruction bronchique.
La pollution est particulièrement néfaste chez les patients non contrôlés. Il est préférable d'éviter les sorties lors des pics de pollution.

Le reflux gastro-œsophagien

Un RGO est souvent retrouvé dans l’asthme. L’acidité gastrique induirait un réflexe de bronchoconstriction. Il est conseillé de le rechercher systématiquement chez ces patients.
Enfin, bien que la causalité ne soit pas établie, des facteurs psychologiques peuvent intervenir dans l’apparition d’une crise, comme les crises d’angoisse, le stress.

L’éducation thérapeutique

L’éducation thérapeutique est une démarche proposée par les professionnels de santé afin d’apprendre à maitriser et gérer sa maladie. Intégrée à votre traitement, elle peut améliorer votre vie de tous les jours et diminuer les crises d’asthme.
Elle consiste en des entretiens personnalisés au cours desquels vous pourrez discuter de votre situation, résoudre certaines difficultés rencontrées, comme adapter un traitement ou une activité en fonction de votre fonction respiratoire, agir en cas de crise, utiliser correctement un aérosol doseur….
Elle contribue également à améliorer l’adhésion au traitement. En effet, 40 % des asthmatiques ne prendraient pas ou mal leur traitement, soit par méconnaissance de leur maladie, ou par une utilisation incorrecte du matériel.
Des structures appelées « écoles de l’asthme » sont prévues à cet effet. Une application gratuite pour mobile élaborée par l’assurance maladie est également disponible.

Sport et asthme

Bien que certaines crises surviennent pendant la pratique d’un sport, celui-ci n’est pas incompatible avec le fait d’être asthmatique. Bien au contraire, il permet d’améliorer les fonctions respiratoires. Il faut bien sûr avoir un asthme contrôlé, et pratiquer des activités sportives adaptées en évitant les milieux froids et secs, l’exposition aux allergènes…
La plongée sous-marine est une pratique risquée lorsque l’on est asthmatique. Pratiquée avec bouteille, elle est contre-indiquée.
Prenez l’avis de votre médecin avant d’entreprendre une activité sportive, mais n’oubliez pas que le sport est bon pour votre souffle !

Conclusion

L’asthme est une maladie chronique des voies respiratoires dont la prise en charge implique un traitement adapté, et un contrôle de l’environnement et de son mode vie. Connaître sa maladie et apprendre à la gérer est essentiel pour assurer une bonne fonction respiratoire, afin de minimiser l’impact de cette affection sur la vie quotidienne.

Retrouvez les conseils de notre pharmacien pour utiliser une chambre d’inhalation pour votre enfant.