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TSA ou troubles du spectre de l'autisme

  • Par Myriam Gorzkowski, mis à jour le 21/12/2023 à 11h12, publié le 25/05/2023 à 16h05
  • Temps de lecture : ~ 0 minutes
TSA ou troubles du spectre de l'autisme
Les troubles du spectre autistique englobent plusieurs types d’autisme. En effet, cette expression regroupe les différents traits communs propres au TSA. Autisme de Kanner, autisme Asperger ou encore trouble envahissant du développement non spécifié, ces formes ont des points communs, mais également des différences et des degrés divers au sein même de leur catégorie. Pharma GDD vous informe sur les différentes formes de TSA, les symptômes et l’accompagnement de l’enfant ou de l’adulte atteint. 

L’autisme ou TSA

L'autisme est caractérisé par des difficultés dans les interactions sociales et la communication, ainsi que des comportements et intérêts à caractère restreints, répétitifs et stéréotypés. L'autisme, anciennement appelée TED pour troubles envahissants du développement est depuis 2013, reconnu comme des manifestations décrites sous l'intitulé de troubles du spectre de l'autisme (TSA). En effet, l'autisme regroupe plusieurs traits communs, d'où la notion de spectre. Il n'y a pas de différences entre l'autisme et les troubles de spectre de l'autisme (TSA). Cette terminologie représente davantage la diversité des formes de l'autisme. En effet, les symptômes sont multiples et leur intensité variable. Le terme autisme est trop global, car chaque personne touchée se situe différemment dans le spectre de l'autisme.
 

Les causes de l'autisme

L'autisme serait d'origine multifactorielle, génétique et découlerait également des influences environnementales et épigénétiques. L'épigénétique est une discipline de la biologie qui étudie la nature des mécanismes modifiant de manière réversible, transmissible et adaptative l'expression des gènes sans changer l'ADN. L’épigénétique s’intéresse à une « couche » d’informations complémentaires qui définit comment ces gènes sont susceptibles d'être utilisés par une cellule. 
Durant de nombreuses années, en particulier entre 1950 et 1960, on attribuait l'origine de l'autisme à la petite enfance en accusant la mère de ne pas avoir donné d'amour à son enfant même in utero. L'expression "mère réfrigérateur" qualifiait une attitude de manque de chaleur affective attribuée aux mères d'enfants autistes ou schizophrènes, les rendant responsables de leur état. C'est en 1970 que cette hypothèse est réfutée suggérant une origine génétique et multifactorielle, mais elle était encore couramment utilisée jusque dans les années 2000.

Quels sont les signes du trouble du spectre de l'autisme ?

C'est avant les 3 ans de l'enfant que les premiers symptômes des troubles du spectre de l'autisme peuvent apparaître, principalement dans le domaine de la communication, des relations sociales, du comportement et des intérêts. 
Les troubles autistiques se manifestent par des anomalies dans la réciprocité émotionnelle suivantes :
  • L'enfant ne se retourne pas lorsque ses parents s'adressent à lui. 
  • Il n'a pas intégré le processus d'une conversation à tours de rôle lors d'un dialogue. Il a tendance à faire des monologues sans questionner l'autre. 
  • Les questions ouvertes ne sont pas comprises et l'enfant sera plus réceptif aux questions fermées. 
  • L'enfant éprouve des difficultés à partager ses pensées et ses sentiments et a un manque d'empathie.
  • Certains traits peuvent être présents, d’autres non, d’où la difficulté du diagnostic.

Troubles du spectre de l’autisme : la communication

Les enfants présentant des troubles de spectre de l'autisme révèlent une anomalie de la communication verbale ou non verbale, c'est-à-dire au niveau de la compréhension ou de l'expression. Le contact visuel est fuyant ou pauvrement modulé à l'interaction sociale. L'enfant répète sans cesse un mot ou une phrase entendue sans forcément en comprendre le sens et parfois sans que le contexte s'y prête. On parle alors d'écholalie. La communication verbale correspond au non-pointage avec le doigt pour montrer un objet ou une personne, une incompréhension de l'utilisation de l'intonation ou de l'expression faciale, tout comme la non-reconnaissance des émotions, peu de mimiques. Les troubles autistiques se manifestent également par l'absence de babillage et de pointage à partir de 12 mois, de mots à partir de 18 mois et une absence d'association de mots à partir de 24 mois.

Troubles du spectre autistique : les relations sociales

L'enfant autiste rencontre des difficultés de développement et de compréhension des interactions sociales. Il ne faut pas croire que tout autiste est "dans sa bulle". Certains recherchent la relation avec les autres personnes, mais rencontrent des difficultés à comprendre et à partager les pensées, les émotions liées à l'interaction et les règles sociales implicites. Leurs tentatives d'interactions ne sont pas forcément appropriées à la situation. 
D'autres n'ont pas d'intentions relationnelles envers une autre personne. Ils éprouvent des difficultés à comprendre et à partager les pensées et les émotions des autres personnes. C'est pour cela qu'ils n'ont pas d'intérêts particuliers pour les jeux collectifs et ceux demandant de « faire-semblant » comme des « jeux de rôle ». Ils ne souhaitent pas partager leurs moments de jeux ni leurs plaisirs et préfèrent les jeux solitaires. Ils éprouvent davantage de plaisir à l'application des règles du jeu qu'à l'activité en elle-même. Ils ne sont pas attirés par des jeux de mimes ni de cache-cache.

Troubles du spectre de l’autisme : le comportement et les activités

Les enfants TSA adoptent des comportements répétitifs et stéréotypés et se concentrent sur des activités et des intérêts restreints. Cela peut se manifester par des gestes, de type balancement, battement de mains appelé « flapping », tours sur soi-même nommés « autistic spinning ». L'autiste a tendance à l'utilisation répétée du même objet. Il aime aligner les jouets ou les objets, les monter en tour ou les faire tomber. Il va utiliser des phrases stéréotypées souvent tirées d'émission de télévision ou de jeux vidéo. Les routines sont extrêmement importantes pour l'enfant autiste, car son mode de vie est rythmé par ces moments précis. Le moindre changement peut provoquer une grande détresse ou des réactions émotionnelles telles des crises. Un changement même infime dans son rituel quotidien peut causer chez l'enfant une véritable détresse. Une routine stricte est exigée pour que l'enfant se sente en sécurité pour la journée. 
L'enfant se tourne davantage vers des jeux vidéo de construction comme le célèbre jeu Minecraft, les blocs de Lego, des livres encyclopédiques, des manga et porte tout son intérêt sur des thèmes bien spécifiques comme les dinosaures, les avions, les trains, l’espace...
Il est très attiré par la mécanique des objets : ouvrir et fermer, tourner, assembler, démonter... plus que par l’utilisation habituelle du jouet. Par exemple, il fera tourner les roues de son vélo avec sa main au lieu de monter dessus. Chez certains enfants, cela peut durer plus d’une heure.

Troubles du spectre de l’autisme : l’alimentation

L’enfant TSA est très sélectif dans ses choix alimentaires. Il craint les nouveaux aliments (neophobie alimentaire). Il se fige lorsqu'on lui présente des aliments, des marques ou des emballages différents. Il éprouve des difficultés à rester assis à la table, trie les aliments, en élimine progressivement de son répertoire. Il lance la nourriture et fait des crises de colère. Il éprouve une hypersensibilité liée aux textures, à l’odeur et à certains goûts ou couleurs. Il est agité durant le repas, a une mauvaise perception de ses signaux de la faim, a des haut-le-cœur en contact avec certains aliments. 
Il peut également être sujet à des difficultés de mastication, aux reflux gastro-œsophagien, à la constipation, à des problèmes de respiration, des allergies alimentaires et à la dysphagie (difficulté à déglutir ou à avaler).

TSA : intérêts sensoriels inhabituels

L'enfant TSA est sujet à l'hyper ou l'hypo réactivité sensorielle comme les bruits forts qu'ils soient mécaniques ou un cri, une voix. C’est pourquoi certains enfants portent un casque anti-bruit, car même un bruit normal entraine une hyperstimulation. Le regard ne se fixe pas là où est l’intérêt de l’objet, du livre. En effet, il va être attiré par un détail mineur sur une image et non par l’image ou l’objet auquel il est destiné. Il réagit mal en cas d'écart de température subit. Il éprouve un intérêt particulier pour les lumières qui scintillent ou l'eau qui tourbillonne, recherche certaines sensations tactiles d'un tissu bien spécifique et n'en supporte pas d'autres. Paradoxalement, il a une grande tolérance à la douleur, mais éprouve une aversion aux touchers non prévisibles.

Les différentes formes de troubles du spectre de l'autisme

L'autisme de Kanner ou autisme infantile

L'autisme de Kanner également appelé autisme infantile est une forme d'autisme sévère, se différenciant du Syndrome d'Asperger, qui se déclare dans la petite enfance. Les premiers symptômes se déclarent avant l'âge de trois ans. L'enfant peut présenter des troubles de la communication. Il ne regarde pas dans les yeux, ne rend pas le sourire et ne pointe pas du doigt pour désigner un objet ou une personne. L'enfant ne parle pas, le langage n'est pas utilisé pour communiquer avec autrui, il développe des troubles d'interactions sociales. Il reproduit des comportements répétitifs et stéréotypés qui ne semblent pas signifier quelque chose aux yeux des autres. Il peut également présenter des perturbations du sommeil et de l'alimentation, des épisodes colériques, une agressivité dirigée envers lui-même ou sur les autres.

Syndrome d'Asperger

Le syndrome d’Asperger est une forme d'autisme léger, moins sévère, possédant une meilleure communication, moins de troubles neurologiques. Malgré des difficultés dans les interactions sociales ou des comportements répétitifs, l'autisme de haut niveau n'entraine pas de retard dans l'apprentissage intellectuel ou la maîtrise du langage. Ce désordre du développement d'origine neurobiologique concerne plus fréquemment les garçons que les filles et affecte essentiellement les personnes qui communiquent et interagissent avec les autres. Cette forme d'autisme sans déficience intellectuelle, ni retard de langage désigne les personnes qui décodent avec difficulté les situations de la vie quotidienne. Leurs corps, leur cerveau et leurs sens reçoivent correctement les informations. Cependant, un défaut d'analyse empêche un traitement de ces données révélant une appréciation confuse de la vie et de l'environnement. Ce syndrome décrit pour la première fois par le pédiatre Hans Asperger en 1943 et réévalué par la psychiatre Lorna Wing en 1981 est reconnu depuis 1994 par le manuel diagnostique des troubles mentaux IV (DSM IV) et DMS V. Ce syndrome possède ses propres critères de diagnostic et demeure plus fréquent que l'autisme dit "classique". Il peut être diagnostiqué chez les enfants qui n'ont pas été considérés comme TSA.  

Le syndrome d'Asperger se reconnaît par les caractéristiques suivantes :
  • L'enfant éprouve des difficultés à lier des amitiés, à comprendre les règles de conduite sociale, à attribuer aux autres des pensées ainsi qu'à se représenter un état émotionnel.
  • Il rencontre des difficultés à reconnaître les émotions et à les gérer. 
  • Il emploie un ton particulier dans sa voix, un langage précieux. Il ne cerne pas les métaphores, le sens figuré, l'ironie et son contact visuel est peu marqué
  • Les enfants atteints du syndrome d'Asperger sont souvent intelligents, perfectionnistes et exigeants, accordant une importance particulière aux détails pouvant échapper aux autres. Ils ont un centre d'intérêt précis sortant de l'ordinaire pour des enfants de leur âge. Ils sont doués d'une mémoire remarquable et la logique est le maître mot de leur raisonnement, sans compter une grande lucidité et une bonne capacité d'analyse. Concernant la compréhension, le détail est plus important que le global. Il éprouve des difficultés d'accès au sens et axe principalement son intérêt sur des moyens visuels ou tactiles et non abstraits. 
  • Ses centres d'intérêts sont restreints, mais intenses, répétés, voire obsédants.
  • L'enfant Asperger est victime d'une maladresse motrice et a besoin de routine. Il éprouve de grandes difficultés d'adaptation aux changements et aux imprévus. 
  • Il est hypersensible aux bruits, à la lumière, aux odeurs et intolérant à certaines textures.
Les critères du syndrome d'Asperger révèlent une grande honnêteté, la fidélité dans les rapports humains, de la fiabilité, de la loyauté ainsi que l'absence de préjugés. Il est doué d'une pensée originale et d'intérêts spécifiques. Lorsque l'environnement est adapté, la personne Asperger a l’extraordinaire volonté de s'adapter à la norme, fournissant des efforts considérables l'aidant à évoluer en termes de communication et d'interaction. Il est capable de percevoir, de mémoriser les détails lui permettant d'exceller dans certains métiers. Parlons-en, saviez-vous que bon nombre d'inventeurs, d'artistes, d'entrepreneurs, sportifs et de musiciens célèbres seraient Asperger ? Wolfgang Amadeus Mozart, Ludwig Von Beethoven, Isaac Newton, Albert Einstein, Vincent Van Gogh, Andy Warhol, Thomas Edison, Marie Curie, Temple Grandin, Mark Zuckerberg, Elon Musk, Eminem ou encore Lionel Messi...

Trouble envahissant du développement non spécifié

Les personnes avec TED-NS présentent quelques symptômes caractéristiques de l'autisme restant toutefois souvent insuffisant pour être considérés comme tel. Les TED-NS est le diagnostic appliqué aux enfants ou aux adultes qui se situent dans le spectre autistique, mais ne répondent pas entièrement aux critères d'un autre type d'autisme. La personne TED-NS peut être associée à un large éventail de capacités intellectuelles se caractérisant par des difficultés importantes dans le développement social et linguistique. On parle d'autisme sans seuil, car une personne touchée peut manifester certaines caractéristiques de l'autisme, mais pas toutes ou des symptômes relativement légers. Une personne peut présenter des déficits sociaux et en parallèle des symptômes légers, voire nuls dans les comportements restreints et répétitifs.
Le TED-NS se caractérise par des retards dans le développement des capacités de socialisation et de communication, de la compréhension du langage, de difficultés à établir des relations avec les gens. L'enfant a tendance à détourner l'utilisation des objets ou des jouets, n'accepte pas les changements de routine ou d'environnement et effectue des mouvements ou des comportements répétitifs.  

TSA : Comment diagnostiquer l’autisme ?

Pour établir un diagnostic, il faut au préalable s'orienter vers un médecin spécialiste dans le trouble du spectre de l'autisme. Une série d'entretiens et de tests (psychomotricité, communication, interactions sociales...) conduisent à une évaluation neuropsychologique permettant d'orienter l'enfant vers les spécialistes appropriés : orthophoniste, ergothérapeute, orthopédagogue, psychoéducateur, psychomotricien, psychologue ou des services et établissements spécialisés en fonction des critères et du degré de TSA. 

Le médecin joue un rôle important dans le domaine de l'autisme, car il est la seule personne apte à valider un diagnostic de TSA. Il peut délivrer un certificat qu’il faut présenter à la MDPH (maison départementale des personnes handicapées) dans le but de faire une demande de reconnaissance de handicap et permettre l’inclusion à l’école avec une AVS (auxiliaire de vie scolaire).
Lors du résultat du bilan, trois cas sont possibles. Il peut confirmer la présence de TSA, déboucher sur un autre diagnostic, une pathologie ou un handicap dont certains symptômes s'apparentent à ceux de l'autisme. Enfin, si le résultat du bilan est négatif, il sera possible de faire une seconde demande auprès d'un autre médecin pour un second avis.

Des associations peuvent aider les personnes et les parents d'enfants autistes pour être guidés dans les démarches à effectuer. Les CRA, Centres Ressources Autisme sont des structures se trouvant dans chaque région de France qui s'adressent à toutes les personnes concernées ou intéressées par l'autisme. Ils peuvent orienter vers le diagnostic du TSA, apporter de la documentation, aider dans les démarches et les droits et faciliter le quotidien des personnes aidants et des patients. Vous pouvez également vous informer sur le site https://www.autismeinfoservice.fr/ pour des renseignements et un accompagnement.

Des sessions s'ouvrent régulièrement pour les actions de Développement Professionnel Continu (DPC) sur le repérage et la prise en charge précoce des enfants de 0 à 7 ans présentant un trouble du neurodéveloppement (TDN) dont les troubles du spectre de l'autisme. Ces sessions sont destinées à former les médecins généralistes et les pédiatres référents au repérage des TDN et des TSA et à proposer des mises à jour régulières afin d'améliorer l'orientation et la prise en charge de l'enfant au plus jeune âge.

L’accompagnement des troubles du spectre autistique

Il n'existe pas de traitement en tant que tel pour "guérir " le syndrome d'Asperger ni toute forme de troubles du spectre de l’autisme. Il est important que l'entourage de l'enfant comprenne les mécanismes de pensées associés à ce syndrome pour adapter leur comportement. Il est conseillé de protéger l'enfant du bruit, de limiter ses interactions sociales, de ne pas le submerger d'informations, sans pour autant le plonger dans l'isolement. Le but étant de diminuer son anxiété et l'aider à se sentir à l'aise. Il est important de les accompagner dans l'apprentissage de la gestion de leurs compétences pour qu'ils réussissent à s'adapter au monde et aux personnes de leur entourage. Le fait de compenser la difficulté de décodage des comportements et de la communication par des apprentissages les aident à se comporter le plus possible comme les autres. C'est ainsi qu'ils évitent de développer du stress, une angoisse, une dépression ou des crises de violences envers eux-mêmes ou envers les autres. 

La thérapie cognitivo comportementale (TCC) peut se faire en groupe ou en individuel et est également accessible à travers la lecture de livres spécialisés ou de programmes informatiques interactifs. Les séances de TCC peuvent aider à modifier la façon de penser et la façon d'agir, dans le but d'améliorer l'état émotionnel.

La scolarisation peut se faire aux côtés d'enfants ne souffrant pas de TSA pour qu'ils prennent confiance en eux et apprennent à s'adapter aux codes de la société. Il est également possible que l'enfant puisse bénéficier d'un suivi multidisciplinaire, par un orthophoniste, un psychomotricien et un psychologue.

Il semblerait que l'utilisation d'un diurétique, le bumetamide, utilisé chez des enfants entraine une diminution de la sévérité des troubles autistiques. Ces recherches sont pour le moment encore à titre expérimental et font encore l’objet d’études. 
Des études sur des compléments alimentaires sont en cours pour apporter une aide et un apport de certaines vitamines susceptibles d'aider les personnes autistes. La recherche vise en particulier la vitamine C et la vitamine B12 qui jouent un rôle important dans le fonctionnement cérébral. La vitamine B6 et le magnésium sont deux molécules impliquées dans la synthèse de neurotransmetteurs comme la sérotonine et la dopamine.

À retenir

Les nombreux critères et degrés d’atteinte des troubles du spectre autistique sont très larges. C’est pourquoi, chaque cas doit être étudié et accompagné pour aider au mieux la personne concernée. En cas de signes évoquant l’hypothèse d’un TSA, il est conseillé de consulter un médecin pour effectuer des tests afin d’aider l’enfant, l’adolescent ou l’adulte à s’adapter au monde qui l’entoure. 

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